Directrice artistique phygitale | Production vidéos 3D dansées en motion capture pour les marques en quête d’un langage visuel émotionnel | +150 projets culturels dirigés | 12 ans d’ingénierie culturelle
Un geste, un mouvement, est une signature.
Mais dans le droit, il n’existe pas.
Peut-il être protégé ?
Aujourd’hui, rarement. Et c’est tout le problème.
Le Dab, le Milly Rock, la Carlton Dance…
Ces mouvements emblématiques ont été repris dans Fortnite, animés, vendus, copiés, sans l’accord de leurs créateurs.
La majorité des plaintes ont été rejetées.
Parce que le droit ne protège pas un geste isolé.
Une chorégraphie complète, structurée, originale ?
C’est protégeable, comme une œuvre de l’esprit.
Mais un simple mouvement, même signature, même mondialement reconnu ?
Non. Trop court. Trop vague. Trop difficile à encadrer.
Certains danseurs ont un geste signature, un mouvement que seuls eux savent faire.
Ils ne peuvent pas les protéger et ne seront pas capables de le faire une vie entière.
Le paradoxe, c’est qu’aujourd’hui ces gestes peuvent être captés, extraits, modélisés et revendus.
La motion capture et l’IA générative transforment le corps en données.
Et ces données deviennent des produits.
Le geste entre dans l’économie.
Mais pas dans le droit.
Alors la question se pose vraiment :
jusqu’où peut-on s’approprier ce qui a été incarné ?
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Je m’appelle Candice Marcellaud, directrice artistique phygitale et fondatrice de Cadence Capture.
Je crée des vidéos 3D immersives à partir de mouvements dansés.
Chaque projet démarre par une direction artistique et une intention sensible.
Ce n’est pas une animation. C’est une œuvre visuelle émotionnelle et stratégique. www.cadencecapture.com