Directrice artistique phygitale | Production vidéos 3D dansées en motion capture pour les marques en quête d’un langage visuel émotionnel | +150 projets culturels dirigés | 12 ans d’ingénierie culturelle
𝗗𝗲𝘀 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗽𝘂𝗯𝘀 𝗰𝗵𝗮𝗾𝘂𝗲 𝗷𝗼𝘂𝗿. 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝘀’𝗲𝗻 𝘀𝗼𝘂𝘃𝗶𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲 ?
On se souvient d’une pub Kenzo avec Margaret Qualley en 2016.
Du palindrome de Porsche, pour la sortie de la 911 en 2019.
De la Peugeot 206 et de l’éléphant en 2002 !
Ou même des jingles de Juvamine, de Carglass ou de Mercurochrome, martelés jusqu’à l’obsession....
Pourquoi celles-là ?
Parce qu’elles faisaient voyager, réfléchir, rêver.
Ou parce qu’elles s’imprimaient à force de répétition.
Aujourd’hui, alors qu’on baigne dans un flux visuel continu, du matin au soir, combien de campagnes laissent encore une trace durable ?
Combien d’images restent gravées ?
C’est là que réside, selon moi, l’avenir du brand content : ne pas produire “plus d’images”, mais recréer une émotion.
Celle que l’on vit face à un spectacle vivant.
Celle qui ne s’efface pas après 30 secondes, mais qui reste en mémoire. Celles dont on parle pendant des années...
La communication pourrait redevenir un espace de vie culturelle.
Pas seulement un lieu où l’on vend, mais un lieu où l’on transmet une sensibilité.
Merci à Emma Escurier, Enguerrand Boulnois, Adrien HAGE, Julien Crepin et Thierry Hage d'avoir partagé leurs souvenirs publicitaires : ces exemples m'ont inspiré ce post.
Assistante administrative freelance | Organisation & gestion sur mesure | L’efficacité au service de ceux qui créent et dirigent.
28 days ago
Ce qui fait la différence, ce n’est pas la quantité d’images qu’on diffuse, mais la trace émotionnelle qu’elles laissent.
On oublie trop souvent que la vraie connexion ne se mesure pas en vues, mais en émotions partagées